Votre Gîte de groupe jusqu’à 14 personnes dans un château en Bretagne

Le Gîte de groupe idéal pour des moments en famille, pour un enterrement de vie de Jeune Fille (EVJF) ou Jeune garçon (EVJG), pour passer des vacances entre amis… Jusqu’à 14 personnes vont passer de bons moments autour du lac (activités nautiques), piscine, salle de jeux, sauna, balades dans le parc, barbecues… Sans oublier la découverte de la région

Un cocon breton, des horizons infinis

Nos gîtes de groupe, blottis entre Plémet et Loudéac, sont le secret bien gardé d’une Bretagne authentique. Loin de la foule, ressourcez-vous dans un cadre paisible, tout en profitant d’un accès privilégié aux sites emblématiques de la région. Le Golfe du Morbihan, la Côte d’Émeraude, Dinan, Saint-Malo, Saint-Brieuc et le Cap Fréhel ne sont qu’à quelques encablures. Ici, la Bretagne s’offre à vous sans compromis, entre détente et découvertes.

Le Gîte Laennec pour 14 personnes

Réservation à partir de 3 nuits minimum

Gîte comprenant une grande pièce de vie, grande table, une cuisine équipée.

2 chambres (avec lit de 140x200cm), 2 dortoirs (avec 4 lits individuels), 1 canapé-lit dans le salon, salles d’eau, Wc indépendants

Espace jardin, barbecue, chaises et table de jardin.

Pour un séjour FUN en pleine campagne…

350

Selon la période de l’année

Réservation à partir de 3 nuits

  • Gîte pour 14 personnes
  • Cuisine équipée + Salle à manger, coin salon
  • 120m2
  • Vue jardin
  • 2 chambres + 2 dortoirs de 4 personnes + 1 canapé-lit salon
  • Salles d’eau + lavabos, Wc indépendants
  • TV + Wifi
  • Serviettes de toilette

Rappel : Les gîtes se réservent à partir de 3 nuits sur place.

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Laennec

Laennec

Médecin français, membre de l’académie de médecine

René-Théophile-Hyacinthe Laennec, né le 17 février 1781 à Quimper et mort le 13 août 1826 à Ploaré, est un médecin français. Il est le célèbre inventeur du stéthoscope.

Sa vie

René Laennec est issu d’une famille de juristes. Son père, avocat, meurt alors qu’il n’a que 5 ans. Sa mère décède l’année suivante. Il est alors élevé par son grand-oncle, recteur de l’université de Nantes. C’est auprès de ce dernier qu’il fait ses études. Il s’engage ensuite dans la marine comme aide-chirurgien. Il devient ensuite l’élève de Jean-Nicolas Corvisart et entre au service de Guillaume Dupuytren à l’Hôtel-Dieu de Paris. Il obtient son doctorat en 1804 et devient médecin à l’hôpital Necker en 1816.

un peu d’histoire à propos de Laennec

Son oeuvre

C’est dans ce cadre qu’il invente, en 1816, le stéthoscope, outil indispensable pour l’auscultation des malades. Laennec publie en 1819 un ouvrage majeur, De l’auscultation médiate, dans lequel il présente sa méthode et les signes pathologiques qu’il a pu identifier grâce à elle. Il y décrit notamment les bruits respiratoires et cardiaques, et fait la distinction entre les différentes maladies pulmonaires.

René Laennec est élu membre de l’Académie de médecine en 1823. Il meurt trois ans plus tard de la tuberculose, maladie qu’il avait lui-même diagnostiquée chez ses patients.

L’œuvre de Laennec est considérable. Elle a profondément transformé la médecine et a permis de mieux comprendre les maladies pulmonaires et cardiaques. Ses travaux ont notamment porté sur :

  • l’auscultation : il a mis au point une méthode rigoureuse d’écoute des bruits du corps, et a ainsi permis de mieux comprendre le fonctionnement des organes.
  • la tuberculose : il a été l’un des premiers à décrire précisément cette maladie, et à comprendre son mode de transmission.
  • la pneumonie : il a fait la distinction entre les différentes formes de pneumonie, et a mis en évidence l’importance de l’auscultation pour leur diagnostic.
Réussites et échecs

Laennec a connu de nombreux succès dans sa carrière. Son invention du stéthoscope a été une véritable révolution médicale, et ses travaux sur la tuberculose et la pneumonie ont été reconnus par ses pairs. Il a cependant connu quelques difficultés, notamment liées à sa santé fragile. Il a également été critiqué par certains de ses confrères, qui ne voyaient pas d’un bon œil ses méthodes nouvelles.

l’invention du stéthoscope par Laennec

L’histoire de l’invention du stéthoscope par René Laennec est une anecdote célèbre de l’histoire de la médecine.

En 1816, Laennec est médecin à l’hôpital Necker à Paris. Il est confronté à une patiente obèse dont il a du mal à ausculter le cœur. Laennec a l’idée d’enrouler une feuille de papier et d’appliquer une extrémité sur la poitrine de la patiente et l’autre à son oreille. Il constate alors qu’il entend les battements du cœur beaucoup plus clairement qu’en appliquant directement son oreille sur la poitrine de la patiente.

Il a l’idée de reprendre le même principe, mais cette fois-ci avec un bâton de bois. Il se rend compte que le bois transmet les sons encore mieux que le papier. Il met alors au point un cylindre de bois qu’il perce en son centre. C’est le premier stéthoscope.

Laennec présente son invention à l’Académie de médecine en 1819.

Il publie la même année un ouvrage intitulé De l’auscultation médiate dans lequel il décrit sa méthode et les signes pathologiques qu’il a pu identifier grâce à elle.

Le stéthoscope va rapidement devenir un outil indispensable pour les médecins. Il permet d’ausculter les malades sans avoir à les toucher, ce qui est plus hygiénique et plus respectueux de leur intimité. Il permet également d’entendre des sons que l’oreille ne pourrait pas percevoir directement, ce qui est essentiel pour diagnostiquer de nombreuses maladies.

L’invention du stéthoscope par Laennec est une véritable révolution médicale. Elle a permis de faire de grands progrès dans la compréhension et le traitement des maladies.